72% de vente en mois au mois de mars par rapport à mars 2019 pour les constructeurs français … Aucune marque s’en sort mieux qu’une autre. Et les projections sur l’année donnent un marché en recule de 10 à 22%.
C’est, toutefois, en tablant sur une reprise de la consommation au second semestre. Des premières études laissent pourtant penser que la confiance des ménages sera dégradée et leur niveau de consommation recentré sur l’essentiel.
Tous les constructeurs sont en chômage partiel donc pour le moment, ils maîtrisent leurs coûts fixes et ne produisent pas des voitures qu’ils devront bradées après faute d’acheteurs.
« Tout le monde cultive l’espoir qu’il s’agisse d’une parenthèse, mais cela n’est certain ni du côté de l’offre, ni même du côté de la demande, commente Bernard Jullien, économiste de l’automobile